Cet article clôture la série d’articles sur la Nouvelle Zélande et j’espère que les photos vous donneront envie de visiter ce pays magnifique/magique.

Christchurch, c’est la grosse surprise urbaine du voyage. Bon, d’une part les villes de taille plus ou moins importante à visiter se comptent sur les doigts d’une main (Auckland, Wellington, Queenstown & Christchurch) et d’autre part la ville est complétement alternative, en plus d’être la dernière que l’on a visitée.

Christchurch a été détruit par un tremblement de terres quelques années auparavant et est toujours en phase de rénovation / reconstruction. Les panneaux, les conteneurs sont à la mode pour y loger cafés et magasins de manière plus ou moins permanente et les tags sont partout. Un Bushwick (i.e. quartier de Brooklyn US paradis des photographes de tags/urbain) en Nouvelle Zélande ? Un plaisir pour finir la Nouvelle-Zélande en beauté. Merci Christchurch et merci la Nouvelle-Zélande. Bon vent et à bientôt !

Le passage par les Lake Wanaka et Hawea était prévu sur la descente vers Queenstown. Mais c’est un heureux hasard qui nous a fait passer par Cardrona 🙂

Le GPS (ou nous) avons eu un petit bug et avons certainement oublié de tourner à droite quelque part pour Arrowtown. Cet endroit  devient du coup un immanquable avec une vue de toute beauté quand on arrive au point culminant de la route sinueuse. Résultat, une arrivée comme d’habitude dans la ville étape bien plus tardive que prévue, car nous nous sommes arrêtées un milliard de fois pour savourer les vues magiques évoluant à chaque seconde.

La côte nord-est d’Auckland est très agréable, à ne pas louper, le marché matinal de Matakana, offre à boire et à manger de qualité (bon plan néo-zélandais). Les paysages et les plages de ces régions sont sympa et avec sable clair contrairement à l’ouest. C’est une ambiance Cote d’Azur en beaucoup plus tranquille, on est en Nouvelle-Zélande (peu de touristes et tout est préservé et nickel).

Cape Foulwind s’est avéré être une plage de surfeurs courageux qui affrontaient vents et marées pour aller attraper la vague. A Punakaiki (« tas de pancakes »), les rochers impressionnent ; les différentes couches dans tous les sens témoignent de l’activité intense de la marée au fil du temps.

Bien malheureux celui qui fait le Milford Sound sous la pluie. Il y a clairement un potentiel certain malgré l’afflux de touristes mais quand le temps n’y est pas encore une fois c’est dommage… S’il fait beau, cela doit définitivement être très beau, avec des reflets, des cascades, etc.

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Premier arrêt dans un vrai lit depuis que nous avons pris le van à Arrowtown. Et quelle galère comme d’habitude pour trouver un resto, tout ferme super tôt en NZ. Nous avons fini dans un pub typique et alternatif d’Arrowtown. Le lendemain on est parti pour la route de Glenorchy qui longe le Lake Wakatipu, on s’aventurera d’ailleurs bien plus loin tellement le coin était sympa (la route de Paradise Trust et les Diamond Lake et la Glenorchy Routeburn).

Western Coast

Western Coast

Western Coast

Après quelques jours à Auckland, nous trouvons et prenons le van directement pour la côte ouest de la Nouvelle-Zélande. Les plages de sable noir de l’ouest comme Piha ou Bethells sont magnifiques, sauvages et impressionnantes et on reste scotché devant la Galet Colony près de Muriwai (même si on n’aime pas les oiseaux).

Queenstown ou la ville de toutes les folies. Cette ville au milieu des points incontournables, tel le Fox Glacier et le Mount Cook ou les Lake Wanaka et Hawea est une pause sportive de l’extrême. Ici nous avons hésité entre saut à l’élastique, bateau à grande vitesse sur la rivière, et toutes autres sortes de sports extrêmes.

En sortant du bar de glace ce soir-là, après nous être fait refoulées d’un bar mexicain car nous n’avions pas nos cartes d’identité sur nous (et que nous faisons moins de 18 ans évidement c’est bien connu) et après avoir regardé attentivement toutes les vidéos des publicités devant l’agence en dégustant nos glaces comme des asiatiques, nous avons opté pour le Nevis swing, une alternative un peu plus douce que le saut à l’élastique avec quand même un saut de 70m dans le vide et un arc de 300m dans un canyon. Je fais depuis de la pub pour ce swing, avec ma casquette gagnée ce jour-là, célèbre puisque qu’elle me suit depuis dans mon voyage. Mon cri pendant le saut est resté célèbre, et la vidéo ne sera pas publié sur ce blog.